domingo, 14 de octubre de 2012

Se produce un curioso atentado contra el presidente de Mauritania.

Mauritania: el presidente ligeramente herido de bala por un tirador.

El presidente mauritano Mohamed Ould Abdel Aziz ha resultado herido de bala en el brazo el sábado por un hombre que "fue hacia él directamente" mientras se desplazaba en coche cerca de Nouakchott aunque “su vida no peligra”, afirmó a la AFP un responsable policial mauritano.

El presidente Ould Abdel Aziz “fue ligeramente alcanzado en el brazo por una bala, disparada por un automovilista que se refirió directamente a él mientras se encontraba al volante de su coche” hacia Tweila, casi a 40 km al norte de Nouakchott, “donde se dirige prácticamente todos los fines de semana” en excursión, dijo este responsable bajo cobertura de anonimato.
“Su vida no peligra, descendió por sus propios medios en el hospital militar donde recibió los primeros auxilios”, precisó.
Este hospital ha sido puesto bajo estricta vigilancia de la guardia presidencial que acordonó el sitio.
Ninguna indicación ha sido dada sobre el autor del disparo y sobre sus motivaciones, e ignoramos si estaba solo o no durante la agresión al presidente.

Fuente: 20 Minutes y AFP 14/10/2012



Mauritanie: le président légèrement blessé par balle par un tireur.

Le président mauritanien Mohamed Ould Abdel Aziz a été blessé par balle au bras samedi par un homme qui l'a "directement visé" alors qu'il était en voiture près de Nouakchott mais "sa vie n'est pas en danger", a affirmé à l'AFP un responsable sécuritaire mauritanien.

Le président Ould Abdel Aziz "a été légèrement touché au bras par une balle, tiré contre lui par un automobiliste qui l'a directement visé alors qu'il se trouvait au volant de sa voiture" vers Tweila, à environ 40 km au nord de Nouakchott, "où il se rend pratiquement tous les week-ends" en excursion, a dit ce responsable sous couvert d'anonymat.
"Sa vie n'est pas en danger, il est descendu à pied à l'hôpital militaire où il a reçu les premiers soins", a-t-il précisé.
Cet hôpital a été placé sous haute surveillance de la garde présidentielle qui a bouclé les lieux.
Aucune indication n'a été donnée sur l'auteur du tir et sur ses motivations, et on ignorait s'il était seul ou non lors de l'agression du président.

20 Minutes et AFP 14/10/2012