Libia: el jefe de la
misión de la ONU advierte sobre el riesgo de un nuevo conflicto
El Representante especial
del Secretario General y Jefe de la Misión de apoyo de las naciones Unidas en
Libia (MANUL), Martin Kobler, manifestó el miércoles su preocupación sobre los
riesgos de escalada y de un nuevo conflicto luego de los últimos
acontecimientos en el centro del país. ”Exhorto a todas las partes a actuar con
moderación y a resolver los problemas a través del diálogo pacífico”, declaró
en un comunicado Martin Kobler que ya se había mostrado alarmado el martes por
las tensiones en el sur del país. “Exhorto a todas las partes a actuar con
moderación”, agregó.
El Representante especial
pidió a todas las partes trabajar en la reconciliación local y nacional y
abstenerse de cualquier acto o retórica susceptible de recalentar la situación.
El Jefe de la MANUL señaló
la necesidad de redoblar los esfuerzos para encontrar soluciones a los
problemas políticos que permitirían implementar de forma integral el Acuerdo
político libio y manifestó su firme apoyo a la lucha contra el terrorismo en
Libia.
Firmado en diciembre de
2015, el Acuerdo político incluye cuatro grandes principios: garantizar los
derechos democráticos del pueblo libio, la necesidad de un gobierno de consenso
basado en el principio de la separación de poderes y control y equilibrio de
ellos, la necesidad de reforzar las instituciones estatales como el gobierno de
Acuerdo nacional con el fin de que puedan asumir los importantes desafíos del
país y el respeto de la justicia libia y de su independencia.
A mediados de diciembre,
el Secretario General de la ONU de la época, Ban Ki-moon, había recordado que “la
ruta hacia la paz es larga”, señalando que la lentitud de la implementación del
Acuerdo no aportó la estabilidad y la seguridad “que el pueblo libio necesita y
merece”. En ese entonces él había pedido a las partes que aún no se habían
comprometido en el Acuerdo político libio a sumarse.
Fuente: Centro de noticias
de la ONU 4 de enero de 2017
Libye: le chef de la
mission de l'ONU met en garde contre le risque d'un nouveau conflit
Le Représentant spécial du
Secrétaire général et Chef de la Mission d'appui des Nations Unies en Libye
(MANUL), Martin Kobler, a exprimé mercredi sa préoccupation concernant les
risques d'escalades et d'un nouveau conflit suite aux derniers développements
dans le centre du pays.
«J'exhorte toutes les
parties à agir avec modération et à résoudre les problèmes par le dialogue
pacifique», a déclaré dans un communiqué M. Kobler qui s'était déjà dit alarmé
mardi par les tensions dans le sud du pays. «J'exhorte toutes les parties à
agir avec retenue», at-il ajouté.
Le Représentant spécial a
demandé à toutes les parties de travailler à la réconciliation locale et
nationale et de s'abstenir de tout acte ou rhétorique susceptible d'embraser la
situation.
Le chef de la MANUL a
souligné la nécessité de redoubler d'efforts pour trouver des solutions aux
problèmes politiques qui permettront la mise en œuvre intégrale de l'Accord
politique libyen et a exprimé son ferme soutien à la lutte contre le terrorisme
en Libye.
Signé en décembre 2015,
l'Accord politique comporte quatre grands principes: garantir les droits
démocratiques du peuple libyen, la nécessité d'un gouvernement consensuel basé
sur le principe de la séparation des pouvoirs et contrôle et d'équilibre entre
eux, la nécessité de renforcer les institutions étatiques comme le gouvernement
de l'Accord national afin qu'ils puissent relever les importants défis du pays
et le respect de la justice libyenne et de son indépendance.
Mi-décembre, le Secrétaire
général de l'ONU de l'époque, Ban Ki-moon, avait rappelé que «la route vers la
paix est longue», soulignant que la lenteur de la mise en œuvre de l'Accord n'a
pas apporté la stabilité et la sécurité «dont le peuple libyen a besoin et
qu'il mérite». Il avait alors appelé les parties qui n'étaient pas encore
engagés dans l'Accord politique libyen à s'y joindre.
Centre d’actualités de
l’ONU 4 janvier 2017